Qu'est-ce que la Médecine Intégrative ?

En bref, la médecine intégrative est une démarche de soins ET de prévention centrée sur l’individu, faisant appel à toutes les approches thérapeutiques dans le but de soigner et de soulager un patient en le prenant en charge de façon globale et personnalisée.

Mieux la connaître – Mieux la comprendre

Le terme de médecine intégrative est aujourd’hui mis à toutes les sauces et souvent utilisé pour des raisons marketing. Sa définition est parfois assez floue, chacun voulant tirer la couverture à soi en se revendiquant apôtre d’une médecine intégrative qu’il définit à sa façon.

En quoi le site de l’Académie Médicale Montaigne serait-il différent ?

Avant tout nous n’avons rien à vendre, même si nous proposons un espace adhérent. 

Notre seul but : aider les citoyens, les usagers de la santé, à s’y retrouver dans les différentes offres thérapeutiques, les différentes démarches de soin et de prévention, sans à priori, rejet ou favoritisme.

Et surtout en recherchant, pour chaque situation, les approches les plus cohérentes, logiques et efficaces d’après nos expériences de thérapeutes.

Une certitude s’impose à nous : la MÉDECINE INTÉGRATIVE est la meilleure approche pour appréhender la santé et la maladie à condition de bien la comprendre et de bien l’appliquer.

LA MÉDECINE INTÉGRATIVE : DÉFINITION

Vous pourrez trouver sur le Net de nombreuses définitions, mais en réalité elles peuvent toutes se résumer à cette définition simple : INTÉGRATION de TOUTES les approches thérapeutiques afin de prendre en charge la santé d’un individu de façon GLOBALE et PERSONNALISÉE. Et nous ajouterons un adjectif complémentaire : de Façon HUMANISTE.

Car nous parlons bien ici de médecine HUMAINE dans toutes ses composantes, de la plus physiologique à la plus énergétique sans oublier le spirituel. C’est bien cela qui différencie l’homme de l’animal. Si nous avons un fonctionnement de nos organes assez proches – tout au moins avec les mammifères – nous nous différencions avant tout par notre âme, notre spiritualité et notre conscience de la vie et de la mort. Même s’il est tout à fait possible que les animaux aient une âme, mais ce n’est pas le débat.

GLOBALE et PERSONNALISÉE

On ne peut pas réduire la santé d’un individu à sa maladie ou à son symptôme.

Il faut prendre en considération son terrain, mais aussi dans sa vision de la vie, de SA vie et de ses choix personnels. On ne peut pas soigner ou même aider une personne contre son gré ou sans se préoccuper de ses désirs profonds et de ses buts personnels.

On ne peut pas non plus soigner tout le monde de la même façon. Il faut prendre en considération sa génétique, son histoire personnelle, ses antécédents, ses allergies ou intolérances et j’en passe. Or c’est certainement le principal écueil de la médecine scientifique moderne : vouloir traiter une maladie précise de la même façon chez tout le monde. Réduire un être humain à une maladie, à une étiquette, est surement la meilleure façon de ne pas faire le travail thérapeutique jusqu’au bout avec tous les risques d’échec ou d’effets secondaires que cela comporte.

TOUTES les approches thérapeutiques

Ce terme pourtant très clair nous dit bien qu’il ne s’agit pas d’une approche strictement « naturelle » comme certains le pensent ou veulent l’imposer. La médecine intégrative c’est avant tout comprendre et trouver les meilleures synergies entre TOUTES les approches thérapeutiques, y compris, et nous dirons même en priorité, la médecine allopathique moderne qu’il n’est pas question de rejeter.

On oppose trop souvent, médecine chimique et médecine naturelle ou encore médecine traditionnelle et médecine moderne, mais aussi médecine conventionnelle et non conventionnelle. Or ce ne sont que des mots. 

Pour nous, il n’y a qu’une seule médecine : celle qui SOIGNE sans nuire et avec le moins d’effets secondaires possible. P

PRIMUM NON NOCERE ! Avant tout ne pas nuire ! Cela ne fait aucun doute, mais aussi soulager.

Ambroise Paré, grand médecin de la Renaissance a eu une phrase célèbre : « Je le soignai, Dieu le guérit. »

Sans chercher à aller dans le domaine des religions, nous sommes en plein accord avec cette vision des choses : le médecin est là pour soigner, soulager et aider le corps à se guérir. Un médecin qui pense qu’il guérit un patient, seul sans l’aide de ce dernier, est un doux rêveur ou un grand présomptueux. Et certains médecins devraient soigner leur excès d’égo avant de se mettre à soigner des patients.

D’ailleurs, une blague célèbre ne dit-elle pas : « quelle est la différence entre Dieu et un chirurgien ? Réponse : Dieu ne se prend pas pour un chirurgien »  Cette plaisanterie pourrait s’appliquer à tous les médecins et n’existe pas par hasard.

La médecine intégrative va donc chercher à optimiser les pouvoirs d’auto-guérison du corps humain et ils sont bien plus puissants qu’on ne le pense dans certains milieux centrés sur la science pure.

Elle utilisera pour ce faire toutes les approches à sa disposition : médicaments chimiques ou naturels, soins physiques, approches corporelles, énergétiques, diététiques et psychothérapeutiques pour ne citer que les principaux axes.

La médecine intégrative, pour exister, doit donc d’appuyer obligatoirement sur des équipes thérapeutiques multidisciplinaire et interdisciplinaire. De telles équipes, regroupées sur un seul site, sont encore très rares en France malheureusement. De plus, elles ne sont pas favorisées par la législation et encore moins par le conseil de l’ordre des médecins.

DÉMARCHE DE SOIN ET DE PRÉVENTION

Certains considèrent que la médecine intégrative concerne uniquement la prévention et le maintien de la santé. C’est une grave erreur à notre sens. Elle s’adresse d’abord aux soins, mais contrairement à la médecine allopathique, elle va aussi permettre une prévention active et personnalisée de la santé.

Cette notion de prévention sera largement développée au sein de ce site de l’Académie Médicale Montaigne, car elle est essentielle. On sait bien qu’il est souvent plus efficace, voire plus facile, de prévenir plutôt que de guérir.

Pour cela, la médecine intégrative se doit d’être une médecine centrée sur l’individu, prenant en compte toutes ses composantes et ses particularités.

La médecine intégrative ne lutte pas « contre », mais agit « avec » l’organisme du patient. Elle va chercher à faire évoluer le corps et la santé au rythme du patient.

Cela veut dire que le thérapeute doit nécessaire prendre du temps pour dialoguer avec son patient et l’examiner. La médecine intégrative utilise tous les moyens diagnostics à notre disposition, mais est avant tout une approche clinique et même instinctive. Elle se différencie ainsi de la médecine moderne qui va bientôt tout baser sur l’intelligence artificielle, reléguant au second plan le conciliabule particulier entre un thérapeute et son patient.

Or, rien n’est plus thérapeutique qu’une écoute empathique et que l’intention que va mettre le thérapeute dans ses prescriptions. Rien n’est plus puissant que la relation « soigné-soignant »

La médecine intégrative considère que le patient est un acteur important dans la gestion de sa santé et des soins qu’il reçoit. Il doit être impliqué dans les choix thérapeutiques.

Sans oublier de prendre en compte de la dimension psychologique d’une maladie.

La médecine intégrative encourage même la compréhension de la culture du patient et de ses croyances pour favoriser la guérison.

Malgré tout, il ne faudra pas non plus complexifier ou trop intellectualiser ces notions, car il est indispensable de rester pragmatique et viser l’efficacité des soins tout en répondant avant tout à la demande du patient.

LA MÉDECINE INTÉGRATIVE : UNE APPROCHE RECONNUE DANS LE MONDE ENTIER

Sauf en France ?

La médecine intégrative est définie et reconnue par de nombreuses instances officielles à commencer par l’OMS.

Suivant les organismes et les continents, on la nomme complémentaire, non conventionnelle, traditionnelle, alternative, douce ou holistique. 

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) définit la médecine non conventionnelle comme étant « la somme totale des connaissances, compétences et pratiques qui reposent sur les théories, croyances et expériences propres à une culture et qui sont utilisées pour maintenir les êtres humains en bonne santé ainsi que pour prévenir, diagnostiquer, traiter et guérir des maladies physiques et mentales. ».

Les médecines non conventionnelles sont nombreuses : acupuncture, aromathérapie, homéopathie, hypnothérapie, massothérapie, Qi Gong, shiatsu, yoga, etc.

Il s’agit là comme vous l’avez compris de la médecine « non-conventionnelle » s’opposant ainsi à la médecine « conventionnelle » souvent appelée « occidentale » et correspondant à cette médecine allopathique, chimique et qui se veut « scientifique ».

Et bien entendu, la médecine intégrative est donc la somme des deux.

En Amérique du Nord, les médecins sont souvent plus ouverts qu’en Europe et surtout qu’en France. Ils ont ainsi défini les « MAC » ou « Médecines Alternatives et Complémentaires » qui sont parfaitement reconnues.

C’est un énorme progrès en comparaison de l’attitude de la Haute Autorité de Santé (HAS) ou de l’ordre des médecins en France.

Mais dans cette définition, nous voulons malgré tout rejeter le terme de médecine alternative, car aucune médecine n’est l’alternative d’une autre. Et les médecines naturelles ne sont surement pas des alternatives à la médecine allopathique. Elles sont complémentaires, synergiques parfois, mais elles ne sont ni alternatives ni interchangeables. C’est pourquoi le terme « Médecines Alternatives et Complémentaires » (MAC) largement utilisé par les Anglo-saxons ne nous convient pas.

C’est aussi la raison pour laquelle notre site est basé sur une approche intégrative et pas uniquement sur ces « MAC ».

Mais nous ne rejetons pas pour autant tout le formidable travail réalisé par ces organismes.

Les Anglo-saxons sont tellement plus ouverts que nous qu’ils ont créé le « National Center for Complementary and Alternative Medicine » (NCCAM). Celui-ci définit la médecine intégrative comme « une combinaison entre les thérapies issues de la médecine conventionnelle et celles issues de la médecine alternative et complémentaire, pour lesquelles il existe des données scientifiques de haute qualité quant à la sécurité et à l’efficacité des traitements. »

Au Canada et aux États-Unis, plus de 35 universités se sont regroupées au sein du « Consortium of Academic Health Centers for Integrative Medicine » (le consortium des centres académiques de santé en médecine intégrative). Notamment à la Harvard Medical School, à l’université de Calgary et à l’université de Stanford qui est sans aucun doute une des plus avancées dans ce domaine. Toutes ces institutions se sont engagées à revoir leur programme d’enseignement de la médecine afin d’y intégrer les approches complémentaires dont les bienfaits ont été prouvés.

Imaginez que dans le même temps, il est INTERDIT d’enseigner la médecine intégrative et encore plus les MAC au sein des facultés de médecine françaises !

Un autre terme est parfois employé pour définir cette approche thérapeutique : HOLISTIQUE !

Holistique dérive de « holisme » qui est une théorie selon laquelle l’être humain forme un tout indivisible qui doit être expliqué et considéré dans son entièreté. En termes de santé, cela implique que le corps d’un patient est un tout, et pas seulement comme la somme de ses différents organes ni même la réunion du physique et du psychologique.

Cela veut dire aussi que, pour soigner un malade, on ne peut l’exclure de son environnement au sens large du terme, car tous les êtres vivants sont liés à leur écosystème, de par leur nature, leur position ou leur activité, c’est-à-dire que la modification d’un élément entraîne celle de l’écosystème global, et réciproquement.

Nous sommes très proches de cette philosophie, mais nous préférons ne pas utiliser le terme de médecine holistique souvent galvaudé ou très mal interprété, permettant à certains d’accuser ces approches de dérives sectaires, ce qui, sur le plan des définitions, est totalement faux.

Mais il faut bien avouer que certaines sectes profitent aussi de ces confusions pour manipuler des esprits plus faibles ou des malades fragilisés en parlant de médecine holistique.

LA MÉDECINE INTÉGRATIVE : EVIDENCE BASED MÉDECINE

La médecine basée sur les preuves ou sur les évidences ?

 

La médecine intégrative qui associe toutes les approches thérapeutiques ne doit pas renier la science au profit d’approches trop ésotériques ou parfois un peu fumeuses.

Si le but est de rechercher des synergies entre les thérapeutiques allopathiques et les approches plus naturelles, il est avant tout d’aider le patient à se soigner dans les meilleures conditions sans effets secondaires, mais aussi sans perte de chance.

Il est donc nécessaire de mettre en avant le meilleur protocole possible en fonction des études scientifiques, mais surtout de ce que les Anglo-saxons appellent « l’évidence based médecins » (EBM) que nous allons vous expliquer maintenant.

Sur ce site, tous nos propos s’efforceront toujours de faire référence aux données acquises de la science, les plus actualisées possible, et les nombreuses références bibliographiques citées montrent qu’il existe beaucoup de travaux qui valident, dans le monde entier, ces approches intégratives. 

Il persiste malgré tout des spécialistes réticents à utiliser ou favoriser l’usage de ces médecines qu’ils appellent « patamédecine » ou « fake médecine ». Certains voudraient toujours plus d’études mettant en doute celles qui existent déjà. Pourquoi ?

Pour critiquer plus facilement ces approches globales, ils évoquent l’Evidence-Based Medicine (EBM) afin d’opposer une médecine ultra-scientifique bénéficiant de recherches très poussées à une médecine traditionnelle souvent basée sur l’expérience et des décennies, voire des siècles de pratique.

Afin de réconcilier les différentes parties et faire que toutes ces approches thérapeutiques, chimiques ou naturelles, soient prescrites de concert, il nous parait indispensable de bien définir ce qu’est l’EBM.

Pour cela, nous vous proposons de relire attentivement la définition originelle de l’EBM comme l’ont défini ses créateurs, Gordon Guyatt et David Sackett à la Faculté de médecine McMaster au Canada dans les années 1980. Leur but était d’analyser tout ce qui fait qu’un traitement sera plus efficace.

Malheureusement, les scientifiques français (qui ne sont pas toujours très doués en anglais), en ont fait une traduction inappropriée qui est « médecine basée sur les preuves ». C’est une énorme erreur de conception !

Pour ces Canadiens, le mot « evidence » évoquait « ce qui est probant », ce qui fonde l’expertise du clinicien en conjonction avec la recherche clinique scientifique. Autrement dit, le but est de se servir des résultats scientifiques, mais de ne pas être aveuglé par eux.

Une médecine à la pointe de la recherche dans tous les domaines de la santé (sciences physiques, chimiques, mais aussi humaines) se doit d’être basée sur des données probantes, mais aussi sur l’expérience, et regroupe en fait trois aspects qui doivent être tous pris en considération pour faire un choix thérapeutique. 

Voici la représentation schématique de l’EBM comme elle a été conceptualisée par ses concepteurs :

Expérience clinique Données de la recherche Préférences du patient Donnent = décision

À travers ce schéma simple et explicite, on comprend bien que toute décision thérapeutique sera idéalement prise en fonction :

  • Des résultats des études scientifiques qui sont essentiels, mais ne représentent qu’une partie des critères de décisions.
  • De l’expérience clinique du praticien qui pourra déterminer si tel remède est réellement adapté au patient particulier qu’il a devant lui et si d’autres traitements ne peuvent pas être plus appropriés même si des études manquent sur le sujet.
  • Des besoins, des préférences du patient, mais aussi de sa culture, de son terrain et donc des circonstances particulières dans lesquelles va se prendre cette décision.

 

C’est bien cela l’EMB ! Et pour nous c’est une parfaite définition d’une médecine intégrative, globale et centrée sur l’individu comme nous essayons de l’appliquer dans notre pratique clinique et comme vous le retrouverez dans toutes les fiches de ce site.

 

Cela permet au patient de rester acteur de son traitement et de recevoir toutes les explications dont il aura besoin concernant sa maladie et les thérapeutiques proposées, qu’elles soient classiques ou moins conventionnelles. Car c’est bien la médecine qui doit être au service du patient et en aucun cas l’inverse.

C’est à ce prix que seront mises en place les conditions nécessaires et indispensables pour aboutir à une optimisation des résultats, tant dans la prévention de la maladie que dans l’accompagnement de ses traitements.

Les milliers de patients que nous avons suivis sont là pour témoigner de l’efficacité de cette démarche, tant sur leur qualité de vie que sur la prévention et la prise en charge de maladies aiguës ou chroniques.

Souhaitons que les mentalités puissent avancer, dans tous les domaines afin que des liens de plus en plus concrets et solides puissent se tisser entre allopathie et médecines complémentaires.

Notre rêve serait que les autorités publiques favorisent des recherches afin d’affiner encore plus la place des approches complémentaires non conventionnelles dans notre arsenal thérapeutique et ainsi optimiser les synergies, mais aussi les oppositions nécessaires et fécondes.

En attendant, nous nous servons de notre expérience et de nos recherches pour essayer de faire avancer les choses et accompagner le mieux possible nos patients.


« De toutes les sciences dont l’homme peut et doit se servir, celle de faire le moins de mal et le plus de bien possible, est vraisemblablement la principale. »  Léon Tolstoï

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